Le pendentif matérialise un cocon protégeant une ponte d’araignée. La lumière qui émane du copal symbolise le caractère précieux de ce qui est ainsi protégé.
J’ai pris pour référence un cocon de toile d’araignée considéré, dans notre représentation imagée, comme le plus commun, afin qu’il soit de suite reconnaissable. J’ai ajouré le cocon en m’inspirant de dessins de toiles d’araignée stylisées et systématiques, pour que l’on puisse voir le copal mais aussi pour avoir de la lumière, de la couleur, et une pièce légère.
J’ai trouvé l’utilisation du copal intéressante, car il existe des cocons et des araignées dont le corps est de cette couleur. J’ai choisi, pour la première pièce d’ambre, de représenter le premier stade d’un cocon, recroquevillé à l’intérieur de son enveloppe. La deuxième pièce avec son inclusion naturelle représente le dernier stade de transformation avant l’éclosion.
Je voulais un lien rigide qui fasse penser à une branche suspendant le cocon. Le torque était le plus adéquate. Il me fallait par contre un système permettant de faire passer le pendentif. J’ai donc pensé insérer un système tube, à l’image de mon bracelet. Le tube ne bouge plus car il est ajusté à la courbe du torque. Il suffit pour l’enlever de le tirer délicatement. Il est ajouré de la même manière que le pendentif.